Anti-Les systèmes de drones améliorent la gestion de la sécurité de l’espace aérien à basse altitude

Le 26 août 2024, divers sites Internet, dont Air Traffic Management, ont signalé que le faible-les gestionnaires de l'espace aérien d'altitude ont cherché à développer la gestion du trafic aérien sans pilote (UTM) ou U-écosystèmes spatiaux depuis des années, permettant aux drones et aux décollages et atterrissages verticaux électriques (eVTOL) un avion doit voler au-delà de la ligne de vue visuelle (BVLOS) sans risque. La question cruciale est de savoir comment garantir que les drones et les avions électriques évoluant dans leur espace aérien soient dûment autorisés etne soient pas sous le contrôle de criminels mal informés, imprudents ou, au pire, de terroristes. Pour relever ce défi technologique et réglementaire, anti-les systèmes de drones doivent être intégrés dans la gestion de l’espace aérien pour détecter lesnon-assurer la conformité des opérations de drones dès les premiers stades et atténuer les problèmes potentiels.

Dans le monde, plus de 300 anti-les sociétés de drones proposent de tels systèmes ; cependant, en raison des caractéristiques uniques de chaque UTM/U-région géographique spatiale, la plupart des systèmes sont incompatibles en termes d'efficacité et de coût-efficacité. Par exemple, si un UTM/U-Si la zone spatiale chevauche des régions critiques en matière de sécurité telles que les aéroports, les ports maritimes ou les prisons, lesniveaux de technologie de détection et d'atténuation requis peuvent différer de ceux des zones rurales.

L'anti idéal-La solution de drone est « en couches », employant plusieurs capteurs tels que le radar, la détection de radiofréquences, l'acoustique et l'optique. Les informations de ces capteurs sont intégrées dans un système de commande et de contrôle, permettant aux opérateurs de recevoir des alertes précoces sur les menaces, d'identifier les intentions et de choisir les meilleurs systèmes d'atténuation : brouillage des fréquences radio, usurpation d'informations, prise de contrôle du réseau, armes laser, drones à réponse cinétique, capture du réseau. systèmes, petits missiles ou artillerie. De plus, à mesure que les menaces liées aux drones évoluent, lesnouveaux capteurs et mesures d’atténuation doivent être évolutifs.

L'installation d'un tel anti-la solution drone devrait atteindre au moins 95% efficace contre toutes les menaces liées aux drones, même si les coûts peuvent atteindre des millions de dollars. Selon un récent rapport de Statista, “le coût du client de l'espace aérien municipal pour la lutte civile-le matériel du drone était $5 millions, avec des coûts de commande annuels de $1,7 millions en 2020.”

UTM/U-Les gestionnaires de zones géographiques spatiales sont également confrontés à d’autres défis. Leur travail actuel se limite à la détection de drones malveillants, tandis que des mesures d'atténuation appropriées devraient être déployées par les agences de sécuriténationale. Par conséquent, il existe un décalage entre les agences chargées de garantir les faibles-la sécurité de l’espace aérien en altitude, avec des rôles et des responsabilités souvent flous.

Cependant, la situationn’est peut-être pas aussi désastreuse que beaucoup le craignaient autrefois. Lesnouvelles réglementations, technologies et une compréhension renouvelée des risques associés facilitent la résolution de ce défi.

Nature de la menace

Au cœur du défi réside la compréhension de lanature des menaces. La plupart des gestionnaires de l’écosystème UTMn’auront pas besoin d’investir dans des réseaux de défense profonds pour se protéger contre les attaques militaires.-attaques de drones de qualité et autonomes pour éviter la détection—du moins, pas encore.

Les drones commerciaux constituent toujours une menace considérable pour l’UTM/U-gestionnaires de zones géographiques spatiales. Selon un rapport de RAND Corporation de 2020 intitulé “Capacités adverses des petits systèmes aériens sans pilote”: “Dans l’ensemble, le marché des petits systèmes aériens sans pilote commerciaux tend à devenir plus petit, plus léger et plus résistant.-à-détecter des modèles. De plus, il existe des améliorations significatives en termes de vitesse, d’autonomie et d’endurance, ainsi qu’une réduction des signatures acoustiques. Certains modèles de petits drones possèdent une capacité de charge utile suffisante pour transporter de grosses matières explosives ou des objets illégaux. Cependant, ils sont relativement faciles à détecter car ils transmettent des données de commande, de contrôle et de télémétrie par radiofréquence. (FR) spectre.

Mesures initiales

La première ligne de défense consiste à exiger que tous les drones commerciaux soient équipés de systèmes d'identification à distance permettant aux agences de sécurité de comprendre lenuméro de série du drone./numéro d'enregistrement, emplacement géographique et emplacement de la station de contrôle au sol. Le Japon impose des systèmes d'identification à distance pour les drones depuis juin 2022, tandis que la Federal Aviation Administration des États-Unis (FAA) a fixé la date limite au 16 septembre 2023 pour les systèmes d'identification des drones. L'Union européenne commencera la mise en œuvre le 1er janvier 2024, bien que les exigences en matière d'informations varient selon les agences de réglementation.

Jeff Cole, PDG de la lutte anti-urbaine américaine-la société de drones Hidden Level, a déclaré : “Les systèmes de circulation aérienne et les infrastructures de surveillance existants sont utilisés depuis des décennies pour surveiller les aéronefs pilotés, maisn'ont pas été conçus pour des vols à basse altitude.-tâches en altitude au-dessus des zones urbaines. Nous devons potentiellement surveiller des centaines de drones et de véhicules aériens urbains. Bien que les exigences d'identification à distance de la FAA soient utiles, elles ont des limites. Le rôle de l’identification à distance est similaire à celui d’une plaque d’immatriculation identifiable et à la transmission de la localisation d’un drone. Cependant, les signaux d'identification à distance peuvent être usurpés oune pas être transmis du tout, ce quinécessite une vérification.”

Début 2023,nouvel UTM/anti-technologies d'intégration de systèmes de drones et cloud-des solutions basées sur ces technologies ont émergé pour relever le défi des drones malveillants. Les systèmes de détection fonctionnent aux côtés des systèmes UTM pour suivre à la fois les coopérations et lesnon-coopérations.-drones coopératifs. Hendrik-Jan Van Der Gucht, directeur général de la société belge UTM SkeyDrone, a déclaré : “Tout comme les prestataires de services denavigation aérienne doivent investir dans les systèmes ATM (y compris la planification du vol) ainsi que les principales technologies de détection coopérative (par exemple, Mode-Radar S et ADS-B) pour les systèmes de suivi des vols,nous, en tant qu'U-les prestataires de services spatiaux ont également cette obligation. Les évaluations des risques détermineront où des composants supplémentaires sontnécessaires pour gérer les risques de sûreté et de sécurité posés par des activitésnon autorisées etnon autorisées.-opérations coopératives de drones. Nos systèmes de détection intégrés pour coopérative/non-les drones coopératifs permettent au personnel de sûreté et de sécurité de se concentrer sur des tâches élevées-risque, vols de dronesnon autorisés.”

Solutions SkyDrone

En février 2023, SkeyDrone a lancé Radar Pro avec anti-partenaires matériels de drones pour construire une radiofréquence-système de détection entièrement intégré à l'UTM/U-écosystème spatial. Le directeur commercial Didier Decaestecker explique : “Vous avez besoin d'un réseau de détection capable d'identifier et de suivre les drones, etnotre système vous sert-façade spatiale-services finaux pour les zones géographiques et les opérateurs de drones. Il peut détecter à la fois les coopératives et lesnon-coopératives.-des drones coopératifs tout en intégrant le système d'autorisations de vol UTM, permettant aux responsables de la sécurité ou des zones géographiques de voir immédiatement quels drones sont autorisés à l'avance et lesquelsne le sont pas.”

En avril 2023, Dedrone a présenté le City-Large solution de détection de drones dans 40 grandes villes du monde. Cenuage-La solution basée sur un emplacement fixe permet une surveillance mobile via les réseaux, l'App Store et Google Play.

Marie, directrice du marketing-Lou Smulders a déclaré : “La ville de Dedrone-La solution de détection de drones à grande échelle est un exemple de la façon dont la lutte contre les drones-la technologie des drones peut être facilement mise en œuvre. Le système utilise l'infrastructure existante pour surveiller simultanément plusieurs drones et zones géographiques grâce à un système d'alerte simplifié. Une fois qu'une zone d'alerte est franchie, le système informe les opérateurs de l'emplacement et des données spécifiques sur le drone. Les améliorations utilisant des caméras ou des radars, entre autres outils, pour renforcer la sécurité de l’espace aérien sont également faciles à mettre en œuvre.”

Les avantages du prochain-nuage de génération-basé sur l'anti à distance-les systèmes de drones en tant que service incluent une augmentation des coûts-efficacité, évolutivité et flexibilité. Utiliser l'intelligence artificielle (IA) technologie, ils peuvent identifier rapidement les types de drones (basé sur des bases de données de drones commerciaux connues) et l'emplacement de l'opérateur, classifiant les types de menaces en simulant leur comportement. Denouveaux capteurs peuvent être rapidement ajoutés au réseau, garantissant ainsi son évolution pour répondre aux menaces futures.

Solutions deniveau caché

Jeff Cole, PDG de Hidden Level, a déclaré : “Chez Hidden Level,nous avons développé plusieurs-technologies de détection ciblée pour répondre aux demandes du marché en matière de détection de drones et d’avions pilotés. La plupart des applications commerciales adoptentnos données-comme-un-modèle de service, déployantnos technologies de détection sur l'infrastructure existante pour créer une couverture, qui peut être étendue en ajoutant davantage de capteurs via une installation en couches. Nous possédons et exploitons le matériel, réduisant ainsi les coûts et le fardeau de maintenance pour les clients. Plusieurs utilisateurs peuvent s'abonner au même réseau, créant ainsi une image opérationnelle partagée qui est également coûteuse-efficace.”

Concernant lanécessité de dépenser $5 millions pour acheter un espace aérien urbain anti-système de drones, alors que c’était le cas en 2020, les coûts ont considérablement diminué depuis.

En février 2023, OSL, une entreprise britannique, a mis en place un système anti-système de drones à l'aéroport de Londres Heathrow, libérant le service d'alerte de drones (DAS), un système de détection intuitif quinenécessite aucun matériel et est disponible via divers services d'abonnement. Cela permet aux utilisateurs de recevoir des alertes sur l'activité des drones à proximité et de visualiser trois années de données historiques, avec un prix d'abonnement de seulement £24 par jour. Cependant, des défis techniques demeurent. Intégration anti-Les systèmes de drones équipés de systèmes UTM constituent un défi de taille, et l'ajout denouveaux capteurs pour faire face aux menaces constitue également un obstacle majeur. Un défi potentiellement plus important est de savoir comment gérer un drone détecté. Celanécessite une série de solutions technologiques et institutionnelles, les défis techniques s’avérant moins redoutables que les défis institutionnels.

Responsabilité

Les pays commencent enfin à se demander qui est responsable de la gestion des drones une fois détectés. En Europe, l'anti-commission de la Commission européenne-Le plan global de systèmes de drones prend forme avec le soutien de son Centre commun de recherche en Belgique et en Italie. La proposition envisage de créer une plateformenumérique sur les incidents liés aux drones, comprenant des données catégorisées partagées par l'UE.-utilisateurs autorisés, méthodes de test et d'évaluation anti-systèmes de drones, compilant des rapports annuels sur la lutte contre-développement de la technologie des drones et fourniture d’évaluations des risques pour les stratégies d’atténuation.

Aux États-Unis, la FAA a publié le « Interagency Coordination Process Report on Anti-Drone Systems" en mars 2023, expliquant comment le ministère de la Défense (DOD), Ministère de l'Énergie (BICHE), ministère de la Justice (DOJ), et Département de la Sécurité intérieure (EDS) se coordonnera pour lutter contre-défis des drones. Le rapport concluait que “ces cinq agences ont passé huit mois à développer des composants, des feuilles de route et desnormes objectives pour l'utilisation de systèmes de drones pour détecter et atténuer les systèmes. Au cours de cette période, ils ont surmonté plusieurs défis,notamment déterminer dans quelle mesure la détection et l'atténuation des systèmes de drones interféreraient avec le systèmenational d'espace aérien. (NAS) et quels processus sontnécessaires pournormaliser les processus de coordination.” Le National Security Projects and Incident Response Office de la FAA teste également la technologie de détection de drones à l'aéroport d'Atlantic City.

UTM potentiel/U-les prestataires de services spatiauxn’attendent pas que les agences de régulation établissent des règles détaillées pour le déploiement de l’UTM/anti-services intégrés de drones ; au lieu de cela, ils deviennent proactifs. Hendrik-Jan Van Der Gucht anoté : “D'un point de vue commercial, les services

Integer maximus accumsannunc, sit amet tempor lectus facilisis eu. Cras vel elit felis. Vestibulum convallis ipsum et aliquam varius. Etiamnec laoreet turpis. Énéennisi libero, tempornon sem vitae, hendrerit egestas ex. Nam magna odio, placerat ac risus tristique, viverra tinciduntnibh. Donec vitae leo efficitur, bibendumnibh ac, pretium urna. Vestibulumnunc augue, scelerisque ac vulputate sed, fermentumnonnisi.

Vivamus tristique ligula quis orci malesuada tincidunt. Praesent magna purus, pharetra eu eleifendnon, euismod vitae leo. Interdum et malesuada fames ac ante ipsum primis in faucibus. Quisque sapien enim, feugiat et mi vel, fermentum placerat tortor.

Praesent suscipit, purus tincidunt faucibus gravida, leo quam ullamcorper risus, quis pretiumnibh eros ut purus. Vestibulum ante ipsum primis dans faucibus orci luctus et ultrices posuere cubilia Curae ; Fusce ut enim tempo, venenatis metus interdum, ullamcorper sem. Pellentesque et sem vehicula, condimentum velit malesuada, dapibusnunc. Duis vitae elifend orci, ut divers risques. Praesent conséquatnibh id dictum molestie.

• Vestibule iaculis velit
• Nec ante varius tempus
• Duis sollicitudin lacus sapien
• Sed pharetra felis facilisis sed

Cras eget sapien auctor, porttitornisi vitae, vulputate justo. Cras et pharetra ligula, vel vestibulum ipsum. Orci variusnatoque penatibus et magnis dis parturient montes,nascetur ridiculus mus.

Faites simple, mais significatif

Quisque scelerisque suscipit purus,nec venenatisnulla lobortis eu. Interdum et malesuada fames ac ante ipsum primis in faucibus. Suspendisse tempor id lacus in tincidunt. Vestibulum porttitor risus diam,nec ullamcorper leo consectetur luctus. Praesentnequenisi, eleifend sed diam sed, ultrices venenatis ipsum. Vestibule ut sem urna. Mauris loremneque, egestas eget arcu sit amet, sagittis dictum risus. Sed dolor ligula, dictum ac mattisnec, sagittisnon ipsum. Entier sollicitudinnunc vitaenisi facilisis, sed rutrum elit vestibulum. Duis viverra maximus felis au condimentum. Sed congue mi vel massa laoreet, vel laoreet risus sollicitudin. Ut pellentesque est lectus, vitae sodales velit tempus eget. Énéen sem quam, malesuadanon venenatisnon, porta et magna. Donecnec urna eget sapien ornare tristique. Quisque ac accumsan leo. Curabitur elementum ligula in libero dictum, eu placerat lacus posuere.